Ma vie de manager chez iad – Romain Fourcade

Romain Fourcade nous parle de sa vie de Manager chez iad

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Pouvez-vous vous présenter ?

Je m’appelle Romain Fourcade, j’ai 43 ans. J’exerce sur le secteur des Sables d’Olonne (85).
Je suis entré chez iad comme prescripteur fin 2009.

Combien avez-vous de filleuls ?

J’ai actuellement une équipe de 9 personnes sur mon 1^er niveau. Et plus de 640 sur 5 niveaux.

Pourquoi avoir choisi de devenir parrain ?

Pour permettre à des personnes que je connaissais de profiter pleinement de l’opportunité iad. Si c’était positif pour moi pourquoi ne pas proposer aux autres de me rejoindre dans l’aventure ?

Trop de gens subissent leur quotidien professionnel.

Romain Fourcade

Depuis toutes ces années, j’ai vu des milliers de personnes s’épanouir dans le réseau iad. Je ne comprends pas qu’on ne souhaite pas donner à un maximum de gens cette opportunité. Tout le monde n’y arrivera pas, c’est vrai, tout le monde n’est pas fait pour ça.
Mais si on ne change, ne serait-ce qu’une vie, est-ce que ce n’est pas la plus belle des récompenses ?

Avez-vous suivi des formations pour parrainer ?

J’ai évidemment fait le plus tôt possible toutes les formations managériales mises à ma disposition.
Je me suis également beaucoup inspiré de ma up Line qui me montrait l’exemple et me conseillait.

`Votre parrain vous a-t-il aidé à développer votre équipe à votre tour ?

Mon parrain Vincent m’a beaucoup aidé dans l’inspiration et l’exemplarité pour développer. Il a souvent été à mes côtés dans des déplacements et l’animation de POA (Présentation d’Opportunité d’Affaires) à mes débuts. Il m’a convaincu de l’importance d’ouvrir un jour mon pôle et d’en faire un espace de Co-working. Il m’a aussi permis d’éviter certaines erreurs. Il a toujours été présent et inspirant pour moi comme pour les filleuls. Il m’a guidé dans la compréhension du modèle iad.

Au bout de combien de temps chez iad avez-vous parrainé votre 1^er filleul ?

J’ai dû faire mon premier parrainage moins de 6 mois après avoir commencé. A l’époque, on était tout de suite manager.

Comment avez-vous connu vos filleuls ?

La grande majorité des personnes que j’ai parrainées depuis toutes ces années est issue de ma liste chaude (mes relations).
J’en ai eu 2 qui m’avaient été orientés par mon parrain et qui ne sont plus là aujourd’hui. Mais grâce à l’un d’entre eux qui avait une filleule, quand il est parti, elle est remontée sur mon premier niveau et a développé depuis.
Je dois avoir une seule filleule issue d’un lead candidat actuellement. J’ai plusieurs filleuls avec qui nous évoluons depuis plus de 10 ans et c’est une fierté d’avoir partagé une si grande tranche de vie.

`Comment managez-vous vos filleuls ?

Pour moi, il est très important d’avoir un contact téléphonique régulier individuellement. Mon équipe est très disparate et éloignée géographiquement.
Nous pouvons faire quelques visios communes pour faire un point sur de la descente d’informations par exemple. J’ai également des groupes privés Facebook que j’utilise.
J’organise une fois par an une journée dédiée à mon premier niveau avec une partie réunion et une partie cohésion. J’essaie de répondre favorablement à un maximum de leurs sollicitations et de me déplacer plusieurs fois par an pour aller les voir physiquement.
J’organise également un moment de cohésion par an lié à des challenges ouvert au-delà de mon premier niveau. Je participe le plus souvent possible aux événements du réseau, ce qui me permet aussi d’avoir d’autres occasions de partager de bons moments avec eux. Nous sommes tous indépendants mais j’aime voir ces liens se créer entre eux au fur et à mesure des années et des moments partagés. Des amitiés sont nées, l’entraide et la solidarité sont au rendez vous.

Vos filleuls sont-ils localisés dans le même secteur que vous ?

Un peu plus de la moitié de mes filleuls de premier niveau sont dans le département. J’en ai même recruté un dans ma petite commune pour prendre le relai et occuper le terrain en mon absence. Les autres sont à environ 5 heures de route.

Quelle est la part de la récurrence dans votre rémunération totale ?

90%

A quoi ressemble votre quotidien de parrain ?

Mon quotidien est rythmé par les sollicitations. La majorité de mon temps est consacré à l’animation, la formation, l’accompagnement. Le téléphone sonne beaucoup mais heureusement j’ai aujourd’hui beaucoup de relais qui sont autonomes et ça me permet de ne pas être sollicité par toute l’équipe.
Il y a aussi quelques prises de mandats car je réalise toujours quelques ventes par an, en grande partie grâce à des recommandations et à mon réseau.

Beaucoup de mes ventes sont faites en partage aujourd’hui.

Romain Fourcade

J’ai toujours aimé la transaction et j’ai toujours voulu rester connecté au terrain.

Qu’aimez-vous dans ce métier ? Chez iad ?

Ce que j’aime dans ce métier chez iad c’est qu’on ne se cantonne pas à faire que de la transaction pendant toute sa carrière.

On peut évoluer sur le management, la formation, le développement. C’est très diversifié car nous sommes dans l’humain.

Romain Fourcade

Parfois c’est difficile et parfois c’est merveilleux. On acquiert une liberté extraordinaire pour un minimum d’investissement.

Comment vous imaginez-vous dans les années à venir ?

Mes objectifs chez iad sont simples: continuer à faire ce qui m’a toujours animé et partager cette opportunité à nouveau avec des personnes qui vont s’éclater.
J’ai aujourd’hui la nouvelle qualification Diamant. Mon objectif est donc d’aider un maximum de ceux qui vont me rejoindre à atteindre le cap 30 à leur tour. J’aimerai recruter 2 nouvelles personnes en direct en 2024 et pourquoi pas dans de nouveaux secteurs géographiques voir à l’étranger.

D’ici quelques années j’aimerai que l’équipe atteigne le cap 1000 ; ce serait une belle performance et cela symboliserait surtout pour moi que nous avons réussi une belle duplication et qu’un maximum de personnes de l’équipe toucherait de belles récurrences.

Qu’aimeriez-vous ajouter pour les nouveaux arrivants potentiels ?

iad est une formidable opportunité, c’est une course d’endurance. Cela demande beaucoup de travail pour construire de bonnes fondations.
Il faut passer les étapes, apprendre à faire, faire, apprendre à faire faire. Un grand nombre des managers de mon équipe occupe les Top développement et recurrence. Nous avons donc une certaine expertise pour vous guider sur le chemin de la réussite chez iad et nous sommes disposés à vous en faire profiter.
Alors si l’aventure vous tente contactez-moi et rejoignez des centaines d’entrepreneurs qui s’épanouissent depuis des années. Vous comprendrez vite pourquoi j’ai baptisé mon équipe les Happyculteurs.
A bientôt.