Vincent Morin, iadien chevronné et cofondateur iad Portugal

Ses débuts avec le marketing de réseau

Après son master de commerce, Vincent a la chance de très vite gérer de grands comptes pour différentes grandes enseignes en France. L’entrepreneur de 43 ans a déjà été à la tête de deux entreprises. Une première société spécialisée dans la défiscalisation, qui fut une belle réussite. À la suite de cette séduisante expérience, Vincent a lancé une entreprise dans le secteur de l’informatique qui, cette fois-ci, n’a pas rencontré le succès escompté. 

Pour prendre du recul par rapport à cet échec, Vincent et son épouse décident de faire une pause de plusieurs mois en Amérique centrale.

Ce qu’il y a de plus singulier dans le marketing de réseau, c’est que l’Humain est vraiment au cœur de tout.

Vincent Morin

À son retour en France, un ami lui présente la société iad. Comme beaucoup de Français, il avait des a priori sur le MLM qui se sont vite estompés dès qu’il s’est rendu compte des possibilités que pouvait lui offrir ce business model. Pour autant, Vincent ne pensait pas que cela changerait autant sa vie et la vie de ceux qui le suivraient dans cette aventure.

Aujourd’hui, il existe une multitude de sociétés de marketing de réseau mais si Vincent a choisi iad, c’est pour l’immobilier et la liberté de l’entrepreneuriat. Bien qu’il ait cru que le secteur d’activité de l’immobilier était relativement accessible, Vincent a mis réellement 9 mois pour vraiment appréhender le fonctionnement du marketing de réseau et ses enjeux.

C’est lors d’un atelier animé par l’un des fondateurs du groupe qu’il a eu la révélation : le MLM. iad est pour lui la parfaite combinaison de ce qu’il veut réussir à atteindre dans sa vie : du temps pour lui et sa famille, une certaine liberté financière et du vrai plaisir en travaillant avec des collègues qui sont devenus maintenant des amis, une famille.

N’ayant jamais fait d’immobilier dans sa vie mais ayant quand même une expérience dans la vente et la relation client, Vincent tente sa chance. Lorsqu’il rentre chez iad, c’est déjà 200 conseillers* qui sont actifs et arrivent à générer un revenu. Son démarrage est long car l’immobilier reste un secteur complexe avec ses codes. Vincent ne lâchera rien et patientera 5 mois avant de réaliser sa première vente.

Alors même qu’il pensait pouvoir bénéficier des aides de l’État pour assurer son lancement d’activité iad, celles-ci ne lui ont pas été accordées. Dans le même temps, son épouse lui annonce qu’elle est enceinte. La pression monte d’un cran pour Vincent, c’est évidemment une merveilleuse nouvelle et en même temps cela crée une forte appréhension, car l’activité n’est pas encore bien enclenchée et il faut pouvoir assurer l’arrivée d’un bébé.

Moteur en marche, Vincent décide de mettre en place une stratégie puissante sur du long terme lui permettant d’atteindre petit à petit des paliers: viser la 50° place iad France, puis la 40°, puis la 30 jusqu’à atteindre, après 4 années d’effort, la place de numéro 1. Depuis, il maintient ses efforts pour garder la position de top leader.

Pourquoi le Portugal ?

Aujourd’hui Vincent Morin assure ses fonctions de cofondateur du réseau au Portugal et il continue d’exercer son rôle de manager iad en développant et en animant son réseau en France et en Europe. 

À l’origine, Vincent imaginait développer le Canada ou les États-Unis (le rêve américain). Et c’est le Portugal qui est devenu sa conquête. Le pays sortait d’une grande crise, les Portugais semblaient avoir un mode de vie proche de celui des Français et puis, Vincent comptait beaucoup de Portugais dans son entourage. Avec ses associés et amis, ils se sont envolés vers le Portugal pour analyser le contexte et les possibilités d’y implanter iad. À leur retour, l’équipe établit un business plan qu’ils présentent à la Direction du réseau.

Désormais, iad est bien établi au Portugal et compte 1 000 agents répartis sur tout le territoire. L’implantation du réseau n’a pas été une mince affaire puisqu’il s’agissait ici d’une création pure où il fallait pouvoir s’aligner, s’adapter aux pratiques, aux mentalités et à l’ensemble des réglementations du pays.

L’union fait la force

Conquérir un pays? Oui. Seul? Impossible. Vincent nous confie qu’il n’aurait jamais pu conquérir un pays seul et que le fait d’être plusieurs était une véritable force. Bien entendu, il faut pouvoir s’entendre avec l’intégralité des associés et partager une vision commune. Sans Joël, Pedro, Tony, Bryan et Kader, iad Portugal n’aurait jamais vu le jour. L’association est pour lui cruciale pour pouvoir se lancer et le soutien des pionniers du réseau est également indispensable.

Lorsque l’on veut se lancer dans un nouveau pays, il faut réussir à créer une alchimie entre les associés et les membres actifs du réseau. Certes, le développement de la filiale n’était pas une mission simple, mais les difficultés auxquelles ils ont dû faire face n’ont fait que renforcer le lien qu’ils partageaient. Aujourd’hui, l’ensemble des membres est fier de cette réussite.

En marketing de réseau, plus vous donnez, plus vous recevrez et plus vous réussirez malgré les difficultés.

Vincent Morin

Le Portugal, et après ?

L’implantation du réseau dans un autre pays nécessite beaucoup d’efforts de l’ensemble des associés. Aujourd’hui, Vincent n’a pas pour projet de se positionner sur un autre pays. Bien que le réseau iad soit désormais implanté sur le continent américain (Floride et Mexique), Vincent préfère, dans les mois qui viennent, se concentrer principalement sur le développement de son équipe en France. Pour autant, il ne perd pas de vue les États-Unis qui lui font de l’oeil et notamment l’État de Californie qu’il connait bien. À ce stade de sa carrière, Vincent est dans une position ultra favorable et affirme que le marketing de réseau lui a apporté une réelle liberté d’action pour décider de faire ce qu’il veut, où il veut et avec qui il veut.

Aujourd’hui, mes enfants me voient travailler avec mes amis et c’est important que je puisse leur renvoyer une belle image de ce que peut être le travail.

Vincent Morin

À travers son parcours, Vincent Morin a découvert une autre sorte d’entrepreneuriat que celui qu’il connaissait au départ. En marketing de réseau, plus vous donnez, plus vous recevrez et plus vous réussirez malgré les difficultés. Le secteur du MLM est extraordinaire tant il crée une ouverture d’esprit chez les gens qui proviennent à l’origine de parcours totalement différents.
Tout le monde ne peut pas réussir en marketing de réseau, c’est vrai, mais il y a un très grand nombre de personnes qu’on peut accompagner vers la réussite, il faut y croire et s’y investir à fond.

En marketing de réseau, il ne faut pas négliger le travail réalisé par les entrepreneurs qui réussissent. Souvent, on idéalise car on ne voit que la face visible de l’iceberg (la réussite, le succès), mais il faut étudier toutes les étapes par lesquelles ils sont passés avant d’atteindre cette position. En MLM, «On foire souvent, parfois plus qu’on ne réussit, mais quand on voit les résultats que l’on peut obtenir, alors notre conviction nous pousse à donner le maximum de nous-même ». 

Le métier demande une certaine résistance psychologique à l’échec, une rigueur et une motivation qui dépassent l’entendement.

Dans le MLM il faut être à fond! Si je donne 100% de mon énergie, j’obtiens 300% de résultats. Mais si je ne donne que 30% de mes capacités alors je n’aurai pas de résultats.

Vincent Morin

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Crédit: Léna Penven

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